Petit déjeûner près de l’hôtel après avoir écouté Céline Galipeau nous relater la vie, les grandeurs et les misères du Québec et celles du monde en général. C’était le premier bulletin de nouvelles depuis le 26 janvier. On n’a rien manqué sauf, peut-être, les bordées de neige. On ne s’en plaindra pas car il fait 26° C cet après-midi à Séville. Tchike-Tchike ! Tchike ! Aye ! Aye ! Aye !
Journée splendide du début à la fin. Nous commençons par la visite du Real Alcazar. Il s’agit d’un ensemble palatal se remarquant, entre autres, par sa diversité architecturale. Certaines parties de l’Alcazar s’apparentent à l’Alhambra sans en avoir toute la magnificence. Petits et grands, les jardins, dessinés à diverses époques, occupent 80 % de la surface totale. L’eau y occupe aussi une place importante.
La pièce de résistance des visites de notre journée est, sans nul doute, la visite de la Giralda et de la Cathédrale. La taille de la cathédrale est impressionnante puisqu’elle est en fait la troisième du monde chrétien après St-Pierre du Vatican et St-Paul de Londres. Quant à la Giralda, symbole de Séville, elle offre une silhouette élégante et altière. Nous sommes montés au sommet, 34 étages en pente graduelle, et avons pu admirer Séville les cheveux au vent.
Soirée tranquille pour nous et soirée de flamenco pour Myriam et Claude : repas et spectacle très appréciés.
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