Le 12 février dernier, on décrivait sommairement Salobreña comme suit : Au sommet de la colline sur laquelle le village est assis se dresse un château imposant, dominant la mer d’un bleu indigo profond. Le village aux maisons d’un blanc éblouissant tapisse la colline tandis que des bougainvilliers abondent dans les ruelles escarpées.
Nous avons laissé l’auto à l’entrée du village et avons gravi la colline à pied en empruntant de petites rues typiques. Et les bougainvilliers étaient au rendez-vous. Et à chaque détour, des surprises : murs d’azulejos, patios fleuris, façades décorées de jardinières et d’assiettes de céramique et, en fond de scène, des points de vue saisissants sur la Sierra Nevada. Au sommet, nous avons visité la forteresse qui daterait du 10e siècle et qui fut l’une des luxueuses résidences des monarques nasrides ainsi qu’une prison royale. Nous avons également visité le petit musée archéologique qui ne présente pas beaucoup d’intérêt.
La descente de la colline s’est effectuée en vagabondant à gauche et à droite, selon l’inspiration du moment. Même décor enchanteur. Arrivés au pied de la colline, un petit problème s’est posé : nous n’avions aucune idée où nous étions par rapport à l’auto. Bien entendu, comme toujours, nous nous en sommes sortis avec honneur et gloire, la rédaction de cette chronique en témoignant éloquemment.
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